Sujet: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 10:42
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Louva & Andréa ♥
Préfète-en-chef ! Je vais vous le dire moi ! Mais quelle arnaque ! On vous promet des avantages et autres compensations pour votre boulot. Il est vrai que la salle de bain des préfets est un sacré avantage ainsi que le pouvoir que l'on a sur les autres élèves, mais rien qui ne puisse pas être obtenue avec un peu de volonté. La véritable arnaque je vais vous le dire moi ce que c'est ! On nous désigne en tant que préfet sans nous demander notre avis avec la belle illusion que cela est un privilège absolu à Poudlard. Mais croyez moi ! Vous avez autre chose à foutre que de montrer aux premières années où se trouve les toilettes ou même leur rappeler pour la 50ème fois les différents mot de passe. Enfin... Je ne vais pas trop me plaindre non plus. Ce n'est pas si chiant que ca parfois. Ça donne souvent une bonne excuse pour s'amuser avec des premières années ou se faire respecter par les plus méchants des Serpentard. Mais surtout, être préfète-en-chef est signe de responsabilités, on me confie à peu près tout et je suis souvent la première au courant de nouvelles choses qui se déroule à Poudlard. Que ce soit par les professeurs, les élèves ou même notre "cher" directrice. Justement, aujourd'hui je suis chargée d'escorter une nouvelle étudiante qui arrive dans notre si belle école. En d'autres mots, me voila occupée pour la journée à lui montrer les moindres recoins du château pour aider surement une première année un peu à la traine de 4 mois. Je ne me pose pas vraiment de question, cela me permet également de rater quelques cours et c'est tant mieux ! Je pars donc tout sourire vers le bureau de la directrice, trouvant cette bonne vieille statut les ailes repliés et je lui adresse quelques mots ultra confidentiel. Le mot de passe du bureau de la directrice ! Enfin... Malheureusement un mot de passe éphémère, je ne pense pas qu'elle me laisserai le savoir bien longtemps. Une fois ces quelques mots chuchotés, je monte gracieusement les marches en colimacon, me retrouvant à l'arrière du bureau de notre directrice. Une jeune fille au cheveux rouge me tournait le dos, un tout petit peu plus petite que moi à vue d'oeil dans une tenue qui n'était vraiment pas adéquat si vous voulez mon avis. Une petite robe courte bleu ciel dévoilant de somptueuses jambes assez fine et une peau très clair. Je fais un petit bruit d'un claquement de langue pour indiquer ma présence et lorsque la nouvelle venue de Beaubaton tourne la tête vers moi je lui adresse un sourire radieux pour la rassurer. De toute évidence cette petite nouvelle venait de passer le test du choixpeau et je fais une légère grimace à celui ci alors que la jeune fille se retourne vers la directrice et je prend soin d'écouter tout ce qu'elle lui dit.
- Louva Sallenger, comme te l'a si bien crier ce vieux chapeau, tu aura ta place à Gryffondor. Andréa se chargera de te montrer le château ainsi que tes professeurs. Tes affaires se trouve déjà près de ton lit.
La directrice lui tendit alors son emploi du temps sans même un sourire, aussi glacial qu'a son habitude. Puis elle reprit.
- Les règles ici ne sont pas différentes de Beaubaton alors respecte les et nous auront pas à nous revoir dans un contexte assez déplaisant. Maintenant filez toute les deux j'ai du travail !
J'attends alors sagement que la jeune fille se tourne vers moi et me rejoigne tandis que j'observe avec intérêt les différents tableau représentant tout les directeur de Poudlard, jusqu'à un qui m'intéresse particulièrement : " Albus Dumbledor ". L'ancien directeur semblait pensif, en grande réflexion et fixant intensément la nouvelle directrice avant de tourner ses yeux vers moi, m'adressant un petit clin d'œil derrière ses lunettes en demi-lune. Je ne pu m'empêcher de sourire, ce directeur me manquais, il savait toujours comment remonter le moral de chacun, cette homme aussi vieux était il, a marqué notre vite à un moment ou un autre. Je vois alors Louva me rejoindre, la pauvre semble complétement perdue et frigorifiée, je passe alors devant elle dans les escaliers sans un mots, attendant d'être assez loin de la directrice pour qu'elle ne puisse plus nous entendre et je me tourne subitement vers elle en enlevant ma cape noir que je lui tend pour qu'elle se couvre un peu. Se balader les jambes presque nues, c'était pas très malin mais j'imagine qu'il devait faire bien plus chaud dans le Sud de la France.
" - Tiens met ca avant d'attraper froid. Notre directrice n'est pas aussi protectrice que l'était Dumbledore mais je pense que tu as déjà du le rencontrer il y a 4 ans lors du tournoi des trois sorcier. Je me présente avant toute chose, Andréa Dream, je suis la préfète-en-chef de Poudlard et une Gryffondor comme toi. Je pense que ca tu as du le deviner toute seule. "
Je reprend alors ma marche à coté de toi, t'entrainant vers les hauteurs du château afin de rejoindre la salle commune de Gryffondor.
" - Je ne connais pas trop le système de Beaubaton mais ici les élèves sont tous séparés en 4 maisons; Gryffondor, la tienne à présent qui porte les couleur rouge et or. Les Poufsouffles qui porte les couleurs jaune et bronze. Les Serdaigles, intellectuel qui portent les couleurs bleu et argent et enfin ceux que tu dois te méfier à partir de maintenant. Les vert et argent; Les Serpentard. Crois moi il ne vaut mieux pas trainer avec eux à moins d'en être obligé. Pour te donner un exemple concret, Voldemort était de cette maison. Leur salle commune se trouve dans les cachots, évite de t'y aventurer toute seule. "
Je montre alors à Louva toute les petites choses qui caractérise Poudlard, les fantômes parfois un peu effrayants, les tableaux mouvant décorant les murs, les escaliers mouvant et assez capricieux parfois ainsi que certain passage secret assez pratique pour passer des bas étages jusqu'aux plus hautes tours. Alors que nous arrivons presque à destination, je crois une petite élève de seconde année qui cours vers moi apparemment nerveuse comme pas possible, les larmes aux yeux.
" - Andréa ! Andréa ! La grosse Dame veut pas me laisser entrer !
- Hum... Cindy... Tu sais que pour les vacances de Noêl nous avons changé de mot de passe j'espère.
- Euh...
- T'a de la chance que je sois avec une nouvelle. Ça fais deux ans que je te sert de mémo ! "
Je m'avance alors vers la grosse dame entrainant la petite française fascinée avec moi et je m'écris devant la grosse dame " Boule de neige " et aussitôt la grosse dame s'écarte, laissant le lourd tableau s'ouvrir, dévoilant à l'intérieur une salle commune bien chaude au couleur tout aussi vive et chaleureuse. Néanmoins la salle était presque vide mise à part Cyndi qui courait à toute vitesse pour récupérer son sac oublié près de la cheminé flamboyante.
" - Allez dépeche toi Cyndi ! "
Je me tourne alors en souriant vers Louva, nous retrouvant enfin seule toute les deux.
" - Louva Sallenger ! Bienvenue à Gryffondor ! j'espère que tu te plaira ici, entre Griffonne on va bien s'entendre tu verra. "
Je laisse alors quelques longues secondes de silence et je reprend un peu trop curieuse. J'étais sure d'avoir déjà vu cette fille quelques part. Dans les journaux ou à la télé. Louva Sallenger... J'étais vraiment très nulle avec les prénoms surtout pour les retenir, mais ce visage et ce petit air mutin tout mignon m'évoquais vraiment quelque chose.
" - Désolée d'être un peu curieuse mais... J'ai l'impression de te connaitre. Enfin je suis pas sure mais... Tu sera pas la chanteuse du groupe Fantasia ? "
Louva Sallenger
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:04
Son emploi du temps en main, Louva était déjà prête pour suivre des cours. Elle avait appréhendé pendant pas mal de temps le jour J. Celui où elle allait devoir venir ici. Être la "nouvelle", le centre d'intérêt pour quelques temps. Bon sang ! Elle ne supportait pas ça ! Louva avait pourtant l'habitude une chanteuse équivaut à être une people, une star. La scène ne lui fait pas peur, avoir des milliers de gens devant soi n'était désormais plus grand chose. Mais ça...
Lorsqu'elle avait tourné la tête vers la fille qui l'attendait derrière, elle lui sourit. La préfète était belle, plutôt grande, de long cheveux noir qui descendaient jusque dans le dos. Elle n'avait pas l'air d'avoir les yeux clair vu de loin comme cela, mais son physique était vraiment très bien pour son âge. Elle portait un uniforme de Poudlard, Une chemise blanche ornée d'une cravate aux couleur de la Maison Gryffondor, rouge et or. Vêtue d'une jupe qui descendait jusqu'aux genoux, de petites chaussures et des bas. Avec pour finir une longue cape à manche l'entourait.
Louva avait le sentiment que c'était plus un accoutrement pour garçon hormis la jupe. C'était donc ça le style anglais. Son père lui en avait parlé et que ça allait beaucoup changer pour elle, mais jamais elle n'aurait pensé cela. Alors que la française était perdue dans ses pensées, la voix de la directrice la ramena sur terre. Sa voix glaciale, pas du tout agréable.
- Les règles ici ne sont pas différentes de Beauxbaton alors respecte les et nous auront pas à nous revoir dans un contexte assez déplaisant. Maintenant filez toute les deux j'ai du travail ! La jeune fille s'était mordue la lèvre inférieure, alors qu'elle était au garde à vous depuis l'arrivée de la directrice. Elle détestait cela et ça se voyait sur son visage. Elles allaient avoir du mal à s'apprécier
*Ça j'en doute fortement Madameuh !*ses pensées étaient bien vive.
La directrice semblait pressée qu'elles sortent, c'était pas Louva qui allait s'en plaindre. Elle se tourna vers vers la fille qui semblait s'appeler Andréa. La silhouette fine de la préfète était très agréable à regarder. Louva tira ses bras en l'air pour détendre ses muscles, se penchant légèrement sur un coté.
En sortant du bureau de la professeur dans les escaliers en colimaçon, un courant d'air froid s'engouffra, se glissant sous son uniforme de Beauxbaton. La glaçant sur place. Son visage se crispa et très vite elle croisa ses bras en se frottant pour avoir un peu de chaleur alors que ses cheveux rouge virevoltaient dans tous les sens. - Bon sang qu'il fait froid ici ! Andréa lui avait tendu sa propre cape à manche, prétextant qu'elle en avait moins besoin qu'elle. Ce qui n'était pas faux. Jamais elle n'aurait pensé que le climat en Angleterre était aussi glacial. La France lui manquait déjà, le doux soleil, la chaleur...
Poudlard était immense, bien plus grand que Beauxbaton, un vieux château qui tombait en ruine certes mais plutôt bien sympa en réalité, totalement enveloppée dans la grande cape ses yeux pétillaient en découvrant les grands couloirs de l'école. En même temps Andréa lui faisait un topo sur les maisons. Une longue et histoire très ancienne. La française ne la connaissait pas très bien, en tout cas pas sur le bout des doigts.
Les deux filles croisèrent des fantômes dont un qui traversa le mur en montrant sa tête, de quoi faire hurler de peur Louva. Sous les plus plates excuses du fantôme, elle lui dédaigna à le pardonner. Mais son calvaire ne s'arrêta pas là, lorsqu'elles commencèrent à monter les escaliers, dix tonnes de marche à ne plus savoir quoi en faire !
Jusqu'au moment où une petite fille arriva sur elles en courant. Le cœur de Louva fondit :
- So cuute ! lâcha Louva avec une petite voie toute excitée
La petite fille la faisait craquer, si mignonne, si innocente. Louva lui fit un signe de main pour la saluer gentiment avec un sourire plein de tendresse. Malgré qu'à coté Andréa semblait être énervée, c'était son boulot tout de même. Mais ce n'était pas sûr que la française fasse mieux que la petite Cindy. Cette dernière regardait Louva étrangement, penchant la tête sur un coté, la fixant fortement. Tant d'innocence dans son regard... Surement la drôle de tenue de la nouvelle qui l'intéressait à ce point.
Devant l'entrée de la salle commune de Gryffondor, un énorme tableau se dressait. Une grosse Dame qui leur adressa un sourire de bienvenue et les faits entrer après un drôle de mot de passe. Sous le regard interrogateur de Louva, Andréa lui expliqua qu'il fallait un mot de passe pour accéder à la salle commune. Un mot de passe qui changeait sans cesse, de quoi la déconcerter .
La Salle Commune de Gryffondor était magnifique, grande et chaleureuse, de la tapisserie aux couleurs de la maison. De nombreux meubles, canapés, fauteuils. Tout ça autour d'un grand feu de bois. Tout pour rendre l'endroit agréable.
Après que Cindy soit repartie en zigzaguant entre les meubles, la française sentit le regard de la fille la percer de toute part. Jusqu'à ce que l'inévitable question lui tombe dessus : - Désolée d'être un peu curieuse mais... J'ai l'impression de te connaitre. Enfin je suis pas sure mais... Tu sera pas la chanteuse du groupe Fantasia ? Louva lui adressa un grand sourire, sans être gênée, voir même plutôt à l'aise. Alors qu'elle se déplaça pour poser son sac à bandoulière sur un fauteuil et enlever la cape. Dévoilant son uniforme de Beauxbaton, ses fines jambes. Tenue très légère.
La jeune française tourna sur elle même, avec élégance la robe flottait en l'air autour de son corps, pour se donner une vue d'ensemble de la pièce puis se concentra sur Andréa qui attendait patiemment la réponse. Elle répondit avec un bel accent français - Oui c'est bien moi ! Je viens de France pour finir mes études ici et améliorer mon anglais Sa main frôlait les poils du fauteuil avant de s'avancer sur la préfète. Puis quelques pas pour se placer devant elle, Louva se pencha pour lui faire la bise
- Enchantée de te connaître Andréa ! Et merci de m'aider, j'avoue que je suis un peu perdue. C'était la manière française de se présenter. Le visage à quelques centimètres semblait troubler la fille. Peut être elle ne s'attendait pas à ce que Louva fasse cela. Encore moins quelqu'un de connue. Le sourire en coin, il était facile de deviner le trouble. Alors Louva s'écarta d'elle.
- Il faut avouer que c'est un très bel endroit, je suis contente d'être venue ici, même si la culture anglaise est très différente de celle française...
Son regard fixa l'uniforme d'Andréa avant de le détourner rapidement pour regarder le sien - Je risque d'avoir du mal à passer inaperçue habillée comme ça !
Elle fut prit d'un rire qui raisonna dans la pièce, il eu pour effet de décontracter l'atmosphère. Voilà ce qui était sa véritable personnalité, humaine et aimable. On pouvait facilement l'approcher, rien ne la gênait, c'était une fille très ouverte et elle voulait le montrer pour pas que les personnes qu'elle rencontre l'appréhende.
Louva passa une main dans ses cheveux rouge, replaçant quelques mèches au passage en regardant autour d'elle - C'est normal qu'il n'y est personne ? D'un coté tant mieux ça évite d'arriver aux heures de pointe Elle passa la bandoulière de son sac autour d'elle pour la placer sur son épaule gauche, puis prend la cape dans ses mains et la rendre à Andréa.
Andréa Dream
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:23
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Vous avez déjà rencontré une star ? Du genre de celle dont vous magnifiez la vie par rapport à la votre complétement ennuyeuse. Après tout si autant de gens peuvent passer une nuit blanche à attendre pour voir seulement 5 secondes une star passée devant elle, c'est bien qu'ils ont une vie pas si fantastique que ça. Mais je ne suis pas de ce genre là en fait, ma vie bien qu'elle ne soit pas extraordinaire, je n'ai jamais été vraiment fanatique d'une célébrité. Il y en a bien quelques une qui me font rêver pour leur physique ou leur rôle dans tel ou tel film. Il y a aussi ces groupes de musique que j'écoute à longueur de temps et dont je vénère leurs auteurs comme de véritables artistes. Mais justement ! Voilà que je rencontre au plus grand des hasards, ma chanteuse préférée ! Et bien plus encore ! Une élève dans ma classe et de la même maison que moi ! Louva Sallenger ! La chanteuse du groupe Fantasia ! C'est un peu comme le jour de noël mais en beaucoup mieux ! Qui aurai pu deviner qu'une star de la chanson comme elle faisait ses études à Beaubaton et les finirait ici à Poudlard ! C'est donc les yeux écarquillés et légèrement sous le choc que je la regarde, mêlant une étrange envie de lui sauter dessus pour lui faire un câlin et …. Lui sauter dessus pour lui faire un bisou. Bien évidement je reste complètement immobile en lui souriant alors qu'elle s'approche de moi pour me faire la bise. Ce petit geste me fait alors tout drôle, disons le entre nous, ces françaises sont bien plus coquine et moins prude que nous les anglaises. Je n'ai pas vraiment l'habitude de faire la bise avec des inconnues mais bon là c'est complètement différent. Ce n'est pas vraiment une inconnue, même mon Ipod la connait ! Et puis, dans cette petite robe bleu assez courte et ma cape sur le dos, je dois avouer que je ne m'étais jamais aussi rendu compte à quelle point elle pouvait être jolie. Mes joues s'empourprent alors légèrement tandis que je lui adresse un sourire sincère.
- Enchantée de te connaître Andréa ! Et merci de m'aider, j'avoue que je suis un peu perdue.
- Oh mais pas de quoi, on va dire que c'est mon travail de toute façon. Je ne suis pas la préfète-en-chef pour rien.
Ce n'est certainement pas aujourd'hui que je vais me plaindre de mon travail croyez moi ! Je vais pouvoir montrer à la célèbre Louva l'école de Poudlard et je vais absolument tout lui montrer juste pour ses beaux yeux et ce sera bien loin de me déranger.
- Il faut avouer que c'est un très bel endroit, je suis contente d'être venue ici, même si la culture anglaise est très différente de celle française... Je risque d'avoir du mal à passer inaperçue habillée comme ça !
- Je vais te trouver quelque chose à te mettre sur le dos t'inquiète pas. Je pense que les elfes de maison ont déjà du t'apporter tes robes de sorcière là haut. Elles seront surement beaucoup plus chaude que celle-ci, bien que je trouve ca presque dommage de cacher de si jolie jambes.
Louva se met alors à rire et je ne peux m’empêcher de sourire, sa voix est clair et joyeuse, résonnant dans la salle commune, réchauffant tout d'un coup l'atmosphère. Je la détaille toujours intensément alors qu'elle se passe la main dans les cheveux et c'est fou comme je peux la trouver séduisante ! Le rouge lui ira à coup sur à ravir. Il va juste falloir lui trouver quelque chose de sexy à se mettre mais qui ne soit pas trop froid. Et oui ! Pas folle la guêpe, si je peux en profiter un peu, je vais pas me gêner. Ses jambes me paraissent si douces et fines que je voudrai les caresser et... Mais bon dieu qu'est ce qui m'arrive encore ! La belle française serait elle en train de m'émoustiller ou serait ce encore mes hormones qui font des leurs. Les joies du céliba ! … Mon cul oui ! Hum...
- C'est normal qu'il n'y est personne ? D'un coté tant mieux ça évite d'arriver aux heures de pointe.
- Oui c'est normal, tout le monde à cours à cette heure là, on va en profiter pour visiter un peu le château et je vais te montrer tes sales de cours. De toutes façon on aura toujours cours ensemble alors je pourrai m'occuper de toi.
Louva me tend ensuite ma cape que je remet sur mon dos et je lui prend la main pour l'emmener jusqu'au dortoir des filles. La salle était comme d'habitude très calme à cette heures là, les nombreux lits à baldaquins étaient soigneusement fait. Chacune avait fait de son coin un petit lieu personnel et j’emmène la petite Louva derrière moi jusqu'au lit vierge à coté du mien, lui montrant la grosse malle à ses pieds alors que je vais m'assoir sur son lit.
- Tu devrait normalement y trouver toute tes affaires, ne te fie pas à sa taille. On dirai que nous sommes voisines de lit, je dors juste là à coté de toi.
Je lui adresse alors un petit sourire taquin en battant des jambes sur le lit, ne pouvant m’empêcher de baisser les yeux sur ces magnifiques jambes qui me narguent dans cette robe trop courte. Soudain l'idée de parcourir tout le château me paraît être une idée que l'on pourrait bien repousser, après tout ici il fait chaud et puis nous sommes que toute les deux. Je ne vais tout de même pas la retenir ici avec moi dans cette tenue ? Quoi que... Je pourrai très bien. Je la regarde alors de nouveau dans les yeux pour pas qu'elle se doute de ce que je suis en train de penser à cet instant qui serait quand même assez gênant et j'imagine troublant pour elle. - Tu devrai peut être te changer maintenant, enfin si tu veux bien sur, il fait bien assez chaud ici. Mais si tu veux qu'on y aille, tu devrai au moins te mettre une cape sur le dos.
Louva Sallenger
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:29
La main dans la sienne, Louva fut tirée vers le dortoir des filles de dernière année. Elles empruntèrent un long escalier en colimaçon plutôt vieillot à cause de sa pierre fissurée et étroit. Le genre d'escalier qui ne donne pas trop envie de tomber dedans. Il n'y avait aucune fenêtre ce qui obligeait à mettre des lumières. Des lumières qui éclairaient faiblement les marches, donnant un air très intime. Ça la fit sourire car elle trouvait cela presque romantique. Louva avait une vue agréable sur le bas des jambes de Andréa, sa jupe bien qu'assez longue était faite pour ne pas la gêner. Pour la française c'était un peu plus difficile du fait de son accoutrement.
Une porte grande ouverte les attendaient au bout, fait dans un bois massif avec de nombreuses décorations incrustées dans le bois. Louva fut émerveillée par le dortoir. De nombreux lits à baldaquins se tenaient fièrement, tous étaient ornés des pieds à la tête. Évidemment dans le seul but de se différencier des autres et se sentir bien. La bouche ouverte, les mains jointes contre sa poitrine avec les yeux qui pétillent, pour la française c'était magnifique. Comme une enfant elle s'approcha d'un des lits embellis avec des ornements celtiques qu'elle ne toucha qu'avec les yeux bien entendu par pur respect de la personne. La Préfète-En-Chef l'attendait au fond de la pièce sur le seul lit où il n'y avait rien. A part qu'il était entouré de trois tonnes de valises et encore Louva avait été raisonnable de ne pas tout prendre !
- Tu devrait normalement y trouver toute tes affaires, ne te fie pas à sa taille. On dirai que nous sommes voisines de lit, je dors juste là à coté de toi.
Il était évident que pour mettre la plupart de ses affaires ça ne serait pas dans une malle aussi petite. Un sourire de curiosité traversa le visage de la chanteuse qui s'approcha avec élégance des valises. Ses doigts se posèrent lentement sur la surface qu'elle caressa sensuellement en fermant des yeux, avant de les ouvrir de nouveau et de regarder le lit d'à coté, celui d'Andréa. Sa voix sur un ton charmant avec une belle note d'accent français se fit entendre dans la pièce :
- Ooh ! C'est vraiment génial que tu sois juste à coté. J'avoue que j'ai toujours beaucoup de mal à dormir dans les endroits que je ne connais pas.
Son sourire devint beaucoup plus timide. Ses sentiments étaient toujours difficile à cacher pour Louva, même quand elle est en tournée devant les journalistes. Elle avait décidée d'être elle même devant ses fans. E c'était pour cela qu'on l'appréciait beaucoup. Louva ne se rendait pas compte qu'Andréa l'épiait avec un regard qui était loin d'être seulement d'amitié, mais plus tourné vers la tentation, le désir, la convoitise. Il était vrai que dans l'uniforme de Beauxbâton, les filles étaient beaucoup plus habillée de manière féminine. Sa robe courte bleu clair très fine épousait bien ses formes. Ses cheveux rouges sous son chapeau étaient d'ailleurs la seule chose qui faisait crisper Madame Maxime.
- Tu devrai peut être te changer maintenant, enfin si tu veux bien sur, il fait bien assez chaud ici. Mais si tu veux qu'on y aille, tu devrai au moins te mettre une cape sur le dos.
La voix de la Gryffondor la ramena à la réalité, perdue dans ses pensées Louva pencha la tête vers son amie en souriant.
- Je crois que je vais me changer d'abord, je préfère me reposer un peu même si j'ai pas beaucoup marché une journée de voyage en train jusqu'ici est absolument crevant !
Elle poussa un long soupire et leva sa main jusqu'à son chapeau qu'elle prit délicatement avec son pouce et son index pour le retirer. Elle le posa sur le lit, en effleurant au passage les rubans bleu clair qui y étaient attachés puis secoua ses cheveux un peu trop longuement restés dessous à son goût. Avec toujours un sourire inéffassable chez elle, Louva sortit sa baguette, fine et rapide, qu'elle pointa sur la malle pour l'ouvrir. Des étincelles jaillirent au bout mais rien ne se passa, un long soupire s'échappa de la jeune française qui baissa sa baguette, dépitée A ce moment la, la malle s'ouvrit à la volée en grand.
Levant les yeux au ciel, la chanteuse se pencha pour voir l’intérieur de la caisse. Des tonnes de vêtements accrochés à l’intérieur l'attendaient. Elle se redressa et retira son uniforme français, sans pudeur, qui tomba à ses pieds. Dévoilant plus que ses jambes, mais en sous vêtements, ses formes étaient encore plus appréciables. Vêtue seulement d'un soutien gorge et d'une culotte, Louva commença à faire tourner sa baguette pour présenter devant elle dans les airs différentes tenues.
En même temps elle donna un petit coup de baguette en murmurant des formules de magie complexes. Des lianes firent leurs entrées en sortant du sol, agrippant le lit sur les bords, grimpant le long des poteaux en bois. Avec de jolies fleurs qui fleurissaient de multiples couleurs un peu partout. Elle sorcière mettait déjà un semblant de décoration.
Pendant ce temps la, les différentes tenues se formaient toutes seuls sous leurs yeux, à la recherche d'une à mettre. Mais ici, l'uniforme était de mise et non pas ce qui se présentaient devant elles, des vêtements plus ou moins personnels. Louva fut stupéfaite de trouver dans sa malle des uniformes de Poudlard. Les elfes de maison avaient déjà tout réglé, des vêtements plutôt à sa taille. Elle laissa en suspens car avant de choisir elle devait faire quelque chose.
La jeune française se tourna vers le miroir d'une des voisines de dortoir pour se regarder dedans, elle prit un de ses seins dans la main qu'elle pesa et pressa. Tournant un peu sur elle même. Une drôle de scène à laquelle assistait Andréa. Puis en fermant les yeux, elle fit augmenter légèrement la taille de sa poitrine. Un sourire de satisfaction apparut sur son visage. Le soutien gorge n'étant légèrement plus à la bonne taille elle l'enleva dévoilant la nudité d'une poitrine très mignonne avant de s'avancer vers la Préfète-En-Chef. Louva se pencha sur elle en posant ses mains sur les genoux de l'autre fille y dévoilant une belle vue sur sa poitrine :
- Ne t'inquiète pas, je sais que c'est surprenant la première fois, mais c'est un petit rituel que je dois souvent faire. Ça arrive que je ne les aient pas à la bonne taille, quand on a l'habitude il est plus aisé de remettre les bonnes dimensions.
Elle lui fit un clin d’œil avant de se relever, inconsciente de ce qu'elle pouvait bien donner comme sentiment à la pauvre Andréa. Louva finit par choisir un des uniformes de Poudlard, composé d'une chemise cravate et d'une jupe plutôt courte. La française ne voulait pas trop perdre ses habitudes d'avant et préfère garder un minimum d'habitude comme avoir les jambes dévoilées, signe pour elle de parfaite liberté. C'était aussi l’uniforme le plus féminin selon elle, les anglaises s'habillaient comme des hommes, une horreur ! Heureusement que la jupe existe. Mais la chemise... Sans parler de la cravate. Enfin elle devait faire avec.
Louva remis un nouveau soutien gorge de couleur noir comme sa culotte, puis la jupe de couleur sombre avant d'enfiler la chemise blanche qu'elle boutonna lentement par manque d'habitude. Mais le plus dur fut la cravate, où elle essaya pendant 5 bonnes minutes avant de laisser tomber les armes.
- Je... Andréa, je suis désolée mais je n'ai jamais mis... Ca. Je ne sais pas comment faire, c'est un véritable casse tête. Tu peut me le faire s'il te plait ?
La main tendu vers Andréa, elle lui présentait la cravate aux couleurs de leur maison. Jamais elle n'en avait mis, et ça s’apprend pas du jour au lendemain. La pauvre risquait d'être dépendante des autres pendant un petit moment pour ça, qui au passage n'était pas déplaisant pour son amie qui pourrait la toucher d'un peu plus prêt d'elle même. C'était quelque chose de très gênant, d'ailleurs ça se voyait sur ses joues qui rougirent un peu. En France, les femmes ne mettaient jamais ça. Une différence culturelle, elle allait devoir vite s'adapter.
Andréa Dream
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:29
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Terrible scène auquel j'assiste n'est ce pas ? Une torture à me faire perdre la tête et me rendre folle alors que cette petite française semble ne pas s'en rendre compte et continuer avec son petit air innocent et mutin. J'aurai tout d'abord pensé que l'évocation de l'expression " se changer " évoquerai au moins chez elle un semblant d'intimité que j'étais largement prête à lui accorder. Mais il semblerait que les françaises ont vraiment le feu aux fesses ou n'ont aucune pudeurs. Quelques minutes seulement à la regarder et je me retrouve avec devant mes yeux grand ouvert, une jeune femme en lingerie et un corps parfait, ses vêtements à ses pieds alors qu'elle s'amuse à faire défiler ses vêtements comme une mannequin en plein essayage. C'est peut être à cet instant que je ressent au fond de mon ventre mes origines française, car si Louva savait ce qui vient à me trotter dans la tête lorsque je la voix ainsi presque nue devant moi à faire la maline impudique et innocente, elle prendrait surement peur et s’enfuirait du château à toute jambes. Mais je ne dis absolument rien, restant complétement muette alors qu'elle s'approche d'un miroir, tripotant sa poitrine qui se met à prendre du volume et j'entrouvre légèrement les lèvres de surprise alors qu'elle s'approche de moi en posant ses mains sur mes genoux. Il me faut alors tout mon sang-froid pour ne pas bouger, j'enfonce mes ongles dans mes draps de toute mes forces, me contenant pour ne montrer aucune expression visible du trouble et de l'excitation que la belle chanteuse m'inflige avec tant de facilité que s'en ai déconcertant. Elle fini tout de même par enfiler un soutient gorge de couleur noir ainsi que la jupe et le chemisier de l'uniforme traditionnel de Poudlard et je peux désormais souffler, du moins un petit peu car cela n'enlève vraiment rien à sa beauté... Je ne peux m’empêcher de miroiter cette belle peau qui semble si douce et fragile, ses longues jambes de rêve... Hmmmm ! Je m'en mord les lèvres discrètement pour rester calme alors qu'elle s'approche de moi toute gênée. La petite française semble en plein conflit avec une cravate rebelle et je me redresse devant elle en souriant, commencant à lui faire le noeud convenablement, le serrant doucement pour qu'il lui aille à merveille en lui distribuant mes explications.
Bon je vais t'aider un peu, tu vas voir c'est super simple quand tu as pris le coup. Alors au début tu prend ce bout là... Que tu passe... Là... Ensuite tu fais un tour avec ce bout là pour le mettre... Ici... Et.... Et .......
Soudain je semble incapable de parler, mon regard se relevant dans le sien alors complétement perdue. Louva semble alors si fragile, désemparée et à la fois si proche de mes lèvres que je pourrai sentir son souffle brulant contre les miennes. Je me mord un instant la pulpe douce et humide de mes lèvres avant de tirer sur sa cravate comme s'il avait s'agit d'une laisse pour la coller contre moi et je l'embrasse fiévreusement sans pouvoir me retenir. A peine je sent sa surprise que je m'empresse de poser une main dans le bas de son dos pour l’empêcher de fuir, tirant sur cette pseudo-laisse improvisé en soupirant excitée contre ses lèvres si voluptueuses et sucrés qu'un long frisson descend dans mon dos. Bon dieu ! Mais qu'est ce qui m'arrive ? Cette rouquine est en train de me rendre dingue ou serait ce mes hormones qui me joue encore des tours ? L'un ou l'autre de toute façon, mon geste est surement déplacé et d'ailleurs même carrément osé... Nous allons tout de suite voir si les française ont le sang si chaud qu'elles le prétendent et j'avoue secrètement aimé cette idée de la voir s'enflammer de passion contre mes lèvres. Les paroles sont pour le moment superflu, le langage du corps est bien plus éloquent et ceux qui peut chatouiller pour le moment les fines oreilles de la douce Louva contre moi n'est que le soupire haletant, brulant et excité qui émane de ma gorge comme une plainte du plaisir qui me submerge comme une cascade d'eau brulante coulant le long de ma nuque. Si il y a bien une chose à apprendre à Poudlard mise à part ses couloirs, ses passages secret et tout ces pièges, c'est bien le caractère de ses maisons et à Gryffondor croyez moi, on a pas froid aux yeux !
Louva Sallenger
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:32
Il était clair que Louva avait toujours eu du mal avec les cravates. Elle s'était approchée d'Andréa dans l'espoir qu'elle l'aide. Ce fut réussi dans le sens où sa nouvelle amie, l'avait aidé à la mettre. Mais les explications fut d'un compliqué absolu. Faire un nœud était tout un art, que savait bien magner la Gryffondor mais pas la nouvelle, complètement perdue dans les précisions de sa belle partenaire. Puis très vite, Louva compris qu'Andréa voulait plus. Elle avait tiré sur la cravate pour l'approcher de son visage. Au début, la française se demanda si elle n'avait pas fait une bêtise, ébranlée une règle ou bafouée l'honneur de l'anglaise. Eux et leur drôle de culture on ne savait jamais... Mais ce n'était pas du tout ça, Andréa l'avait gardé contre elle puis embrassée sur les lèvres.
Ce geste surpris la jeune étudiante qui voulu reculer, c'était clairement déplacée, elle n'avait pas été prévenue et... C'était une fille ! Elles se connaissaient à peine. Pourtant Louva en profita gracieusement, fermant les yeux pour gouter à ces lèvres pulpeuses et sucrées. Les anglaises avaient aussi des avantages, et pour une fille aussi belle devant ses yeux. La préfète tenait largement son rang.
Louva eu un sourire en se détachant de ses lèvres, posant son doigt sur la surface de la bouche d'Andréa en faisant un signe de tête de refus. Leurs regards étaient profondément enfouie l'un dans l'autre, la vision du décolleté de la préfète dans sa chemise était vraiment attirant. Mais Louva n'était pas certaine du coup, les joues rouges, ultra gênée par ce moment d'égarement : - Je ne pense pas que ce soit une bonne idée tu sais ? On se connait à peine et... Et... Oh puis zut, va en enfer !
La jeune française poussa Andréa doucement sur le lit, pour tomber avec elle sur les couvertures. Elle grimpa sur elle, comme une tigresse affamée, les cheveux en bataille, la chemise légèrement déboutonnée, la cravate toujours utilisée comme une laisse. Un brin de sauvagerie s'empara de la gryffondor, son sang national réagit à l'appel de l'amour. Louva se lécha les lèvres, des mèches de cheveux rouges sur les yeux, rajoutait beaucoup à cette esprit de fauve indompté.
Elle lui vola plusieurs baisers d'affilés, furtivement, sans lui laisser le temps de réagir alors qu'elle continuait de chevaucher Andréa. Ses mains qui parcouraient la tenue de la préfète-en-chef. Sa tenue d'écolière était douce et lui allait vraiment très bien. L'un de ses mains, se perdis sur la cuisse de l'anglaise pendant que l'autre caressait ses seins :
- C'est impressionnant de savoir que cette tenue, ton corps... C'est magnifique. dit-elle dans un souffle à l'oreille d'Andréa avant de lui mordre le cou.
Puis elle se redressa, les genoux toujours de chaque coté du ventre de sa partenaire. Elle déboutonna sa chemise entièrement, la laissant juste ouverte, pour dévoiler son soutien gorge noir, la cravate rouge et or, trônant entre les seins. Louva possédait la fougue et la beauté farouche d'une jeune tigresse. Elle n'était pas habituée à l'amour, même ça la gênait de faire ça, on sentait ses gestes hésitants. Elle dominait les débats en restant sur Andréa mais ce n'était qu'une illusion. Son coté farouche n'était que pour amuser son amie.
Andréa Dream
~ Lionne Brûlante ~
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:37
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J'ai les lèvres qui brule, le corps qui s'embrase et le cœur qui s'enflamme d'un battement infernal ! Je le sent frapper comme un diable dans ma poitrine prisonnière de cette écrin de tissu blanc et je gémis, telle une plainte lorsque Louva se sépare de moi. Je la tiens toujours, impatiente, tremblante, le corps en mal qui ne sait plus comment réagir. Mon regard fiévreux se perd dans les sien, je la fixe de mes yeux bleu qui ne lui dise qu'une chose " embrasse moi ". Je reste muette la fixant, n'écoutant pas le tumulte désordonné de ses mots, son petit accent français et sa voix qui m'appelle au vice quand je l'entend respirer comme une louve au chaleur. J'ai envie d'elle ! Serait ce son corps, ses jambes, sa poitrine, ses yeux, ses lèvres même ? Sa petite touche à la française ? Sa petite et fausse mine timide ? Sa popularité qui n'est plus à prouver ? Ou alors le simple fait que je suis la fille la plus chanceuse de tenir au bout d'une laisse de fortune une petite coquine aussi merveilleuse que sublime ? Pas une bonne idée me dit elle ? Au contraire, toute celle qui me passe alors par la tête sont toute surement aussi bonne que perverse mais certainement pas mauvaises ! Mais rapidement la mignonne rouquine change d'avis et je me retrouve allongée sur mon lit, chevauchée par celle qui me susurrait plus tôt qu'on ne se connaissait qu'a peine. Elle est belle, mais bien plus que ça désormais, elle est cette étoile qu'on rêve d'avoir dans ses bras. Filante comme un rêve, un fantasme, une image sur un journal qu'on contemple avec envie en se disant " et si... " Avec des SI on referai le monde ? Une phrase qui nous enlève des rêves. Mais la seule chose que je compte refaire aujourd'hui avec des SI, ce sera mon lit. En parlant de lit pendant que j'y suis et d'ailleurs pas seule pour une fois, je caresse doucement le dos de Louva, cueillant ses lèvres sur les miennes dans de nombreux baisers fougueux. Je ne peux m’empêcher de sourire amusée, elle semble aimer ça autant que moi et je caresse son visage tandis que ses cheveux prenne une teinte rouge tout à fait sexy et envoutante.
- C'est impressionnant de savoir que cette tenue, ton corps... C'est magnifique. souffla t'elle à mon oreille avant de me mordre le cou comme le ferai une vampire amoureuse.
Et si je te retirais tout de suite cette uniforme ? Je suis d'avis que ta poitrine est bien plus jolie lorsqu'elle est nue dis-je amusée en déboutonnant sa chemise complétement et la faisant tomber sur ses bras en arrière
Mon dieu quelle merveille, une si jolie poitrine que Louva aurait la joie de modifier à volonté. Mais à vrai dire, je la trouve absolument magnifique comme elle est ainsi cachée derrière son soutient gorge. Je m'avance alors, déposant un baiser doux et chaud sur le haut de sa poitrine, ma main parcourant son dos dans une douce caresse sensuel. En un instant, mes doigts se charge de défaire l'attache de son sous-vêtement. Un petit clin d’œil et je la déshabille avec une infini douceur, déposant des baisers de plus en plus fiévreux sur sa poitrine que je dévoile sous mes yeux gourmand. Elle est belle, magique même, une petite française rouquine dans toute sa splendeur, rayonnante comme un soleil lorsqu'elle sourit. Je ne peux m’empêcher de rire en la voyant à califourchon sur moi, dans mes bras, la poitrine et les épaules complètement nue. Je suis excitée comme une enfant avant Noël, je sais pourtant ce que je veux, mais rien n'assure le fait que je l'obtienne sauf si je suis sage. Elle n'est pourtant pas la seule à s'être ainsi mise sur moi en me tendant leur poitrines, mais mon cœur bat la chamade. Je le sent battre à toute vitesse à telle point qu'il doit surement me faire rougir les joues. Je la regarde, elle me regarde, nos yeux se perdent les uns de les autres et je prend son visage en coupe dans mes mains pour l'embrasser fougueusement. Je sent ses douces lèvres chaudes se presser contre les miennes. Je glisse alors ma langue entre ses lèvres, peu assurée, frôlant sa jumelle avec une timidité qui m'est alors moi même inconnue. J'ai si peur de ne pas lui plaire, de faire une bêtise que cela m'excite d'avantage et me pousse à lui faire d'autant plaisir. Ses cheveux sont, j'y passe ma main curieuse et je sent comme un doux parfum de fleur m'envahir. Mmmmmh, elle sent si bon, cette chaleur nous enveloppe dans un monde qui n'appartient qu'a nous, nos serrés l'un contre l'autre dans une étreinte passionné, je suis folle.... Mais qu'est ce que j'aime ça. Attend voir ma belle Louva, je vais te montrer et te faire des choses que tu n'aura jamais vu en France !
Avec une pointe de regret, je décroche mes lèvres des siennes et je la sentirai presque avancer de nouveau pour continuer. Un petit sourire et je l'embrasse de nouveau du bout des lèvres, les léchant ensuite avant de venir embrasser fiévreusement sa gorge. Mes mains dans son dos, je lèche son cou, retraçant amoureusement sa jugulaire qui pulse à toute vitesse. Je suçote doucement pour ne pas lui laisser de marques, je mordille, j'aspire, je couvre sa peau chaude et sucré de petit baisers, descendant d'une lenteur calculée vers sa poitrine. Je la caresse du bout des doigts, tournant autour de ses tétons alors que ma langue se glisse fiévreusement entre ses seins. Je pince alors tout doucement la pointe de ses mamelons, léchant la peau fine de sa poitrine fougueusement. Fiévreuse, je l'allonge sur moi, sa poitrine au niveau de mon visage, je continue de la lécher, d'y poser de tendres baisers, laissant quelques secondes mes lèvres s'imprimer sur sa peau dans une chaleur voluptueuse. Mes bras l'encercle finalement pour la plaquer contre moi tandis que j'enroule ma jambe sur la sienne, mes lèvres viennent alors capturer le bout de son sein avec amour. Je le suce, le mordille, l'aspire dans ma bouche comme une enfant voulant boire le lait de sa mère alors que ma langue tourne rapidement sur ton téton dressé. Je continue ainsi durant de longues minutes, torturant agréablement sa poitrine, recommençant la même opération sur son autre sein jaloux. J'écoute la respiration chaude et rapide de Louva sur moi, elle semble aimer le traitement que je fais subir à sa poitrine tout autant que moi. Mes mains tout aussi perverses qu'habiles se mettent à tirer doucement sur sa jupe. Je la descend sans même lui demander son avis d'ailleurs, frôlant l'arrière de ses cuisses du bout de mes doigts. Mes lèvres relâche enfin cette poitrine brillante de ma salive et je rit doucement avant de déposer un nouveau baiser entre ses seins, lui susurrant d'une voix douce et chaude, légèrement excitée je dois l'avouer.
" C'est fou à quelle point j'adore tes seins, ta poitrine est si douce que je pourrait la caresser et l'embrasser comme ça toute la journée. D'ailleurs, je peux affirmer que tu es toute aussi douce " dit je en la relevant droite pour voir sa poitrine pointée fièrement de plaisir et passant ma main entre ses seins jusqu’à son ventre chaud. " Une vrai peau de bébé ♥ Oh mais quelle malpolie je fais ! Surtout, on regarde mais on touche pas !
Toujours allongée sous elle et avec une pointe de malice, je lui adresse un regard de braise comme je sais si bien le faire dans ses moments là, passant tout doucement ma langue sur mes lèvres pour lui donner envie. Je déboutonne alors lentement ma chemise, retirant chaque bouton avec lenteur comme une sorte de strip-tease qui laisserait tout le temps à la belle chanteuse de découvrir les courbes de ma poitrine. Je défais ensuite le nœud de ma cravate que je jette en riant avant de retirer mon soutient gorge avec une pointe de malice, laissant juste la chemise ouverte sur mes épaules et couvrant à peine ma poitrine. Je passe alors mon doigt entre mes seins, frôlant ma peau halée avec un regard plein de désir, la fixant de mes yeux bleu comme un appel au vice. Je prend alors sa cravate comme une laisse, un sourire aux lèvres. Je dois certainement avouée que pour la belle française, la vue doit surement être imprenable sur ma poitrine et que ça m'excite à en mourir de voir ce regard de lionne et ses cheveux de feu au dessus de moi, surplombant un corps de rêve, mais bon en même temps c'est normal... C'est une française n'est ce pas ?
Allez viens ma petite chatte, viens là que maman lionne te dévore toute crue Je tire alors doucement sur sa laisse comme pour la faire obéir avec un petit sourire coquin.
Louva Sallenger
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:38
L'attirance était forte, Andréa avait cette façon de rayonner de toute sa splendeur pour attirer les proies vers elle. Cette anglaise avait compris certains sentiments de Louva. Sa cravate bien tendue était tirée comme si c'était des rênes, comme une vraie laisse. Bien évidemment cela excitait d'autant plus la française qui, un joli sourire en coin, se laissa prendre au jeu. Elle se pencha, entraînée par la force de sa nouvelle amie, jusqu'à se retrouver à quelques centimètres du visage de Andréa. Sa voix ressembla à un souffle chaud, brulant sur la mine de sa voisine de chambre : - Merci du compliment ma chère, ta petite chatte comme tu dit sait mordre aussi, mais elle aime tomber dans les bras d'une si jolie fille.
Ses mains se mirent à enlever la chemise d'Andréa alors que la sienne était toujours baissé sur ses bras en arrière. Louva dévoila les jumelles de sa poitrine qui se trouvait sous ses yeux, le ventre, tout brulait. Elle était ardente, les deux filles semblaient tomber dans un cocon de feu qui les dévoraient lentement. Louva, le regard plein de désir au point que les yeux prennent presque une teinte rouge, mordilla le creux du cou de la préfète. Un peu férocement, de quoi faire sursauter Andréa pour son plus grand plaisir.
Ça la fit rire, oui un rire mélodieux, chantant, qui remplit tout le dortoir de sa bonne humeur et de son amour. Louva était une personne très agréable et chaleureuse, on l'adorait surtout pour ça si on met à part ses maladresses et ses bêtises. Elle était capable de calmer beaucoup de tensions rien que par sa présence. Et dans cette situation la, elle avait un effet décontracte. Ce n'était pas la star mondialement connue mais bien la Louva intime. Cette nouvelle écolière semblait bien plus accessible que ce qu'on aurait pu croire et elle le prouvait une nouvelle fois.
Loin de toute pudeur, la jeune française pris l'une des mains de la Préfète dans les siennes pour la plaquer sur un de ses seins toujours en riant avec douceur :
- Je t'avais prévenue que je mordais !
Les cheveux flamboyant sur son front, cachant presque ses yeux en pleine explosion de couleur, lui donnait vraiment un air revêche, indomptée. La folie française, le french flair, comme les anglais aimaient bien le dire, ce don qu'elle avait pour faire craquer n'importe qui. Une nouvelle fois elle l'embrassa, le genre de baiser qu'on n'oublie jamais dans sa vie. Puis elle se détacha de ses lèvres jumelles avec une lenteur qui aurait rendu fou les plus patients.
Elle avait toujours ce sourire sur ce séduisant minois, impossible à effacer. Ses yeux ne cachaient pas leur envie de dévorer ce magnifique corps qui voulait la prendre, la soumettre, lui faire l'amour. Louva aimait être ainsi, sa cravate toujours tendue et tirée par la main libre de Andréa la faisait presque mouiller d'envie. Dieu qu'elle adorait ça.
Une de ses mains délicates, qu'on aurait peur de briser entre ses doigts, vint caresser les lèvres intimes d'Andréa avec une délicatesse qui ferait fondre un iceberg. Ses frêles doigts effleurait la surface de la fleur de l'anglaise pendant qu'elle continuait de déposer des baisers fiévreux sur la poitrine. - On regarde et on touche.
Son rire cachait son coté malicieux. Il n'y a pas dire, elle aurait cru les anglaises bien plus fermé que ça. C'était sûrement le cas, du mal à s'ouvrir, à s'affirmer. D'un coté, Louva était du genre à s'affirmer tellement en tant que chanteuse extravertie... Son regard de braise se perdit sur les formes de la préfète-en-chef avant de se redresser bien droite, dégageant sa main de l'entre jambe de sa voisine pour caresser le ventre de l'anglaise du bout des doigts : - Ne devait tu donc pas me faire découvrir cette école ? Les Salles de classes ? Les lieux importants de l'école ? Ou désire tu que je me perde tous les jours dans ce labyrinthe géant.
Elle se moquait presque de Andréa, alors qu'elle mordit son propre doigt en même temps comme à la fois presque gênée de la situation inhabituelle mais aussi cachottière derrière ce large sourire radieux, c'est qu'elle n'était pas une chatte domptée celle la !
Andréa Dream
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Sujet: Re: La tournée d'une francaise [pv=Louva] Lun 16 Juil - 12:46
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Cette française a le don extraordinaire de m’enflammer, chacune de ses caresses me remplit de désir, ses baisers, ses mordillements, la caresse de ses doigts entre mes cuisses, en seulement quelques petites secondes, elle réussit à me transformer en une boule de désir si intense que mon cœur palpite dans ma poitrine tout la folie érotique qui s'empare de moi. Ainsi donc les française sont aussi joueuse que lubrique, nous allons voir cela. J'attrape les mains de la petite Louva et je la renverse sous moi pour la mettre complètement nue, retirant le moindre de ses vêtements avec une douceur calculée mais sauvage, tirant dessus sans lui faire mal mais avec une rapidité pressante. Je fais de même avec mes vêtements, les jetant à travers la pièce avant de l'embrasser pour lui rendre la pareil, mais ne jouant plus de lenteur, seulement de passion et de fougue de la dévorer sur place. A peine je décolle mes lèvres des siennes que je la retourne sur le ventre, écrasant ma poitrine chaude contre ses omoplates. J'embrasse alors amoureusement sa nuque, la cajolant de petits baisers fiévreux, caressant sa taille et ses hanches jusqu'à prendre ses seins dans mes mains que je presse doucement en me frottant sur ses fesses qui m'ont alors presque jouir tellement je suis excitée. Au bout de quelques longues minutes, la pression de mes mains se fait plus forte tandis que je mouille sur ses fesses, gémissante de plaisir contre sa nuque que je mordille, me retenant au bord de jouir sur ses fesses à présent trempés jusqu'à la cambrure de son dos. Je murmure sensuellement à son oreille que je lèche en souriant : " D'abord, tu vas jouir avant moi, je suis sure que tu vas adorer ça. Ce sera la plus belle visite guidée de toute ta vie. "
Légèrement amusée, je reste sur elle, prenant une paire de menotte en fourrure rouge et je lui attache les poignets devant elle aux barreaux du lit. Je me redresse un peu et je pose mes mains de chaque coté de son bassin, le relevant en appuyant sur son dos pour qu'elle relève simplement son popotin vers moi, sa tête toujours posée sur l'oreiller. Je lui adresse alors une petite fessé comme pour signifier le début de ce que vont subir ses petites fesses bien rondes. Je me tiens alors à genoux derrière elle, caressant sa peau douce, écartant un peu ses rondeur pour insinuer ma langue entre ses lèvres intimes de façon bien appuyer, l’enfonçant ainsi presque elle, écrasant doucement son clito du bout de celle-ci jusqu’à remonter au bord de son anus serré. " Je t'avais dit que maman lionne viendrait te dévorer "
Souriant et amusée, je passe ma main le long de son ventre, attrapant la petite cravate que je pose sur son dos, la tirant un peu pour qu'elle se redresse alors que je caresse son clito rapidement avec deux doigts. Je tire la laisse de façon à ce qu'elle sente qu'à cet instant elle m'appartient, que je peux lui faire tout ce dont il me plaira et que si elle résiste, la cravate l'étranglera. Je relâche celle-ci un instant, appuyant de nouveau sur son dos pour qu'elle s'allonge et j'enfonce fiévreusement ma langue en elle, la léchant rapidement de telle façon que cela lui soit rapidement insupportable tant le plaisir qu'elle va recevoir ne la fera plus tenir en place sous mes caresses. Je continue de longue minutes, remontant ma langue jusqu'au bord de son petit trou de nouveau, attendant qu'elle me le demande d'elle même avec un sourire taquin. Jamais encore mes doigts n'entre en elle afin de la faire languir, je ne joue que de ma langue insidieuse et mutine et dès lors que je vois la petite Louva s'affoler sous mes caresses, mes doigts viennent pincer aussi fort que je le peux ses tétons et mes dents viennent s'occuper de son bourgeon de plaisir afin qu'elle n'oublie pas que seule moi et le droit et le choix de la faire jouir et de décider quand elle pourra avoir un orgasme. J'ai toujours eu un petit faible à dompter les chattes désobéissante et croyez moi, je sais comment m'y prendre. N'est ce pas Louva ?